Charnue, la framboise possède une saveur parfumée et suave. Telle quelle (dans la cuisine ou directement dans le jardin ! ) ou cuisinée, elle est délicieuse mais tellement fragile.
Peu calorique, il ne serait pas raisonnable de s’en priver !
Découvrons une variété très réputée : Golden Queen
Charnue, la framboise possède une saveur parfumée et suave. Telle quelle (dans la cuisine ou directement dans le jardin ! ) ou cuisinée, elle est délicieuse mais tellement fragile.
Peu calorique, il ne serait pas raisonnable de s’en priver !
En agriculture biodynamique, on est souvent beaucoup plus sensible à ce qu’il se passe dans le ciel que quiconque. Outre le fait que l’on jardine avec la lune, avec le soleil, avec les planètes, (nos plants répondent d’ailleurs à ces critères, voir notre boutique), l’on s’intéresse à l’influence que le cosmos peut avoir sur la météo.
Giboulée de mars : Quoi ?
Au printemps, les oiseaux chantent, le ciel est relativement dégagé, on a presque trop chaud et on se déshabillerait volontiers. Quand soudainement, se manifeste une violente averse, soudaine, en plein milieu de cette belle journée ensoleillée. Elle est souvent aussi brève que violente. Cette averse, appelée une giboulée de mars, peut même se produire plusieurs fois dans la journée : le temps oscille entre des après-midi clémentes et de brutales averses. L’averse s’accompagne parfois de grêlons, de flocons de neige, de granules de glace ou de neige fondue. Elle est différente de l’averse hivernale ou de l’averse de neige. C’est le changement de saison : l’hiver doit laisser sa place au printemps, mais il ne le fait pas sans se faire remarquer !
Quand ?
Les giboulées de mars ont lieu uniquement au printemps, (et notamment au mois de mars ! ), mois synonyme d’instabilité météorologique.
L’atmosphère est instable, en raison de l’augmentation subtile mais prégnante du rayonnement solaire.
Pourquoi ?
Dans notre hémisphère, le mois de mars est le mois où l’Europe reçoit de plus en plus d’énergie solaire. Le soleil réchauffe en premier lieu les basses couches de l’atmosphère, tandis que la haute troposphère (l’altitude) reste froide.
Comment ?
La différence de température entre les basses couches et la haute troposphère a pour conséquence une montée de l’air chaud et humide. Cet air chaud et humide se condense, avec formation rapide de nuages cumuliformes. Ces nuages sont formés de gouttelettes d’eau ou de particules de glace. Ils ont un développement vertical et la descente d’air froid entraîne les précipitations. Ceci entraîne une instabilité thermique.
Suite de l’article Auxiliaire ou nuisible ? (1) & (2)
3/ N’intervenez que si nécessaire
Comment savoir si c’est nécessaire alors ?
Vous avez déjà conseillé à votre voisin jardinier, ce pauvre bougre, de laisser des zones de biodiversité. Il l’a fait, et il a patiemment attendu que la situation ne s’équilibre et que tout s’auto-régule, malgré son irrépressible envie de se saisir de ses gants, ses masques, et son pulvérisateur.
Mais rien n’y fait, le temps passe et les insectes, les nuisibles, se font plus pressants, ils vont non seulement détruire la récolte, mais aussi la plante, soignée avec tant d’amour.
Comme vous commencez à nous cerner, vous savez que nous n’allons certainement pas vous conseiller de pesticides « bio ».
Nous préférerons vous proposer une petite feinte : mélangez tout dans le jardin ! Des salades partout : au milieu des tomates, des poivrons, des aubergines… des aromates par-ci par-là, sans oublier quelques fleurs. Comment cela, du bazar ? Certainement pas ! Qui n’aime pas les oeillets d’inde au pied des tomates ? Les basilics touffus au milieu d’une rangée d’aubergines ? C’est tout le contraire, ce joyeux mélange embellit le jardin, et il fait diversion pour le terrible insecte prédateur.
Et vous, auxiliaire ou nuisible ? Dites-nous tout en commentaires et partagez vos expériences (ou celle de votre voisin !)
Laissez des zones sauvages dans votre jardin, et notamment en bordure, pour délimiter une parcelle par exemple. Outre leur intérêt pour régénérer nos sols, ces zones sauvages sont un réservoir pour la biodiversité.
Et c’est ainsi que les populations de nuisibles ou auxiliaires s’équilibreront naturellement, ou du moins, ont une chance de tendre vers un équilibre.
Notre jardinier tenace vous rétorquera peut-être qu’il n’a pas la place. Dans ce cas, 2 astuces : parlez-en à son épouse. Cela devrait être suffisant. Sinon, démontrez-lui qu’en bordure de parcelle, cela permet de bien délimiter son terrain, cela fait moins de travail d’entretien, et que de toute façon, le jeu en vaut la chandelle !
On peut même être encore plus audacieux et embellir les choses, sans que la zone sauvage ne ressemble à une zone abandonnée, mais une zone où l’homme et la nature, dans un souci de co-création, ont fait un choix : celui de réserver un sanctuaire pour cette biodiversité. Alors, on peut imaginer une mare artificielle, recouverte de nénuphars, entourées de murets de pierres, qui servira d’abris aux grenouilles, prédatrices de moustiques.
Au fait :
si votre voisin s’y met et si le virus de la zone sauvage se propage, avez-vous idée des conséquences ? Si on laisse libre cours à son imagination, cela peu tout simplement être grandiose ! On ose : ce serait la fin des pesticides ?
Si l’on pose cette question, c’est bien parce qu’à La Ferme BioLing, nous considérons que ni l’un ni l’autre n’existent ! La lutte contre les nuisibles (lutte contre les pucerons, lutte contre les escargots…) est peine perdue : généralement, le combat est perdu d’avance. A moins de voir les choses différemment…
1/ Identifier
Un nuisible ne devient nuisible que parce qu’il est en surnombre.
Dès qu’un jardinier voit un animal qu’il ne connaît pas, immédiatement, la panique s’installe ! Non, vous n’êtes pas comme cela ? Parfait, vous ne vous reconnaîtrez donc pas dans le portrait qui suit, mais vous reconnaîtrez peut-être votre voisin, qui sait ?!
La peur des nuisibles est l’une des grandes préoccupations des jardiniers, et elle prend bien souvent de grandes proportions, puisque le jardinier a immédiatement envie d’intervenir dès lors qu’il entrevoit une patte d’un insecte jusque-là inconnu !
Le jardinier courageux (votre voisin) luttera avec acharnement et pugnacité, ayant recours tout d’abord aux répulsifs naturels, puis la lutte manuelle. Puis il tentera des préparations élaborées, avant d’attaquer les grands moyens : les insecticides. Bio ou pas. Et vous aurez beau argumenter, vous ne nous convaincrez pas que c’était la seule solution !
Le pire : d’année en année, l’histoire se répète et les dégâts continuent… C’en est trop.
Notre jardinier tenace a beau être patient, ces satanés insectes auront eu raison de lui : il arrête le jardinage !
Vous avez pourtant une solution à proposer à votre voisin jardinier, ce brave homme qui n’a pas démérité dans sa lutte contre l’araignée rouge.
Cette solution consiste à identifier le problème. Trop facile ? Non, non, détrompez-vous !
Globalement, nos insectes ont tous des prédateurs. Donc qu’ils soient des nuisibles ou auxiliaires (appellation que nous utilisons pour simplifier les choses, mais qui n’a pas vraiment de sens), la nature est suffisamment équilibrée pour que chaque espèce soit en nombre suffisant et nécessaire. Le sur-nombre est donc un déséquilibre. C’est par ce déséquilibre qu’il faut commencer.
Exemples : les fourmis élèvent les pucerons. Les coccinelles mangent les pucerons. Les araignées et les punaises mangent les coccinelles. Les araignées attirent les oiseaux et les grives mangeront par ailleurs quelques escargots. Les taupins aussi d’ailleurs en mangeront bien volontiers. Vous aviez pensé mettre quelques poules pour qu’elles mangent les escargots mais elles ont préféré nos salades ! Alors vous préfèrerez sans doute la visite du hérisson qui pourtant vous chipera quelques baies à vos fruits rouges. Pourtant tout ceci n’est qu’une histoire d’équilibre.
Tout cela a l’air facile : rétablir l’équilibre. Mais les pollutions entraînent l’inquiétante disparition de nombreux insectes, d’oiseaux, de batraciens, et même de mammifères. Autrement dit, notre voisin, ce jardinier tenace mais qui a abandonné, n’a pas démérité. Il n’avait pas beaucoup de possibilités.
On peut certes l’accuser d’avoir crée ce déséquilibre : il a tellement voulu se débarrasser du chiendent et de la végétation spontanée. Mais ce serait se montrer dur avec ce pauvre bougre.
Avec les espèces invasives (espèces qui ne sont pas de nos contrées), il est beaucoup plus difficile de trouver des prédateurs naturels, la nature se rééquilibrera, mais il faut un certain temps. C’est le cas pour le frelon asiatique qui dévore nos abeilles, la mouche asiatique qui fait des ravages sur les cerises, le doryphore sur les pommes de terre, les vers mangeurs de nos précieux vers de terre (nos lombrics)…
Vous pouvez utiliser ce formulaire au format pdf et nous renvoyer votre demande de devis ou commande de plants par email. Nous reviendrons vers vous au plus vite.
Laissez-nous un numéro de téléphone, c’est souvent plus pratique !
Nous semons selon le calendrier biodynamique et lunaire, ce qui confère à nos plants santé, vigueur et résistance aux maladies grâce à une immunité qui n’a rien d’artificiel.
Nous ne concevons l’agriculture qu’au travers de la permaculture et de l’agroécologie, et par conséquent, nous ne nous commercialisons que des variétés anciennes.
Pour lutter contre les diverses attaques, nous nous préoccupons d’abord de choisir des variétés qui conviennent à un terroir et au jardinage au naturel, puis nous renforçons l’immunité du jeune plant.
Enfin, en cas d’attaque, nos moyens de lutte sont ceux que nous pouvons faire nous-mêmes : nous soignons nos plants avec nos plantes !
Cela fait des décennies que les Gouvernements et les autorités de santé discutent de l’éventuelle interdiction du Roundup.
Cet herbicide, interdit au Sri Lanka, est considéré comme dangereux par de nombreux médecins et agriculteurs dans le monde.
On lui reproche notamment, sa capacité de chélateur de métaux. C’est à dire qu’il draine des métaux lourds. Lorsque vous prenez de l’eau imbibée de Roundup, elle charrie avec elle de nombreux toxiques (outre le produit lui même) qui attaquent vos organes.
D’où l’épidémie de maladies qui s’est abattue sur les pays utilisant ce produit massivement.
En Argentine, le Roundup a été utilisé dans le cadre de la culture intensive de soja.
Le bilan de la culture du soja associée au Roundup en Argentine c’est :
>> 21 millions d’hectares de culture de soja dans le pays, soit 60% des terres cultivées;
>> 240 millions de litres de Roundup consommés (1 million avant 1997). C’est cinq litres par an et par habitant;
>> 30% des entrées des devises nationales;
>> 22 fausses couches pour 100 grossesses. C’était 6 pour cent en 1997, soit une augmentation de plus de 300% (étude menée dans les campements sanitaires auprès de 96 874 personnes);
>> 18 pour mille malformations congénitales contre 9 pour mille en 1997;
>> Une explosion des cancers;
>> Une explosion des hyperthyroïdies : 47/10 000 soit 10 fois plus que dans la population espagnole.
Par ailleurs, le Centre International de Recherche contre le Cancer, une institution extrêmement prudente, a rangé ce produit au rang des cancérogènes probables.
Vous pouvez être certains, que d’ici quelques années, tous les doutes auront été levés. C’est sans doute parce que les représentants de la firme Monsanto, qui produit le Roundup le sait très bien, qu’elle se montre si agressive pour défendre son produit.
Mais aujourd’hui la stratégie du géant des OGMs a changé.
Sachant que le Roundup vit peut être ses dernières années d’utilisation, l’entreprise prévoit de mettre sur le marché un nouveau produit : le Dicamba.
Ce pesticide est 75 à 400 fois plus puissant que le Roundup.
Il tue tout sauf les cultures qui ont été génétiquement modifiées pour lui résister. Enfin, cela dans un premier temps.
Car, comme toujours, la nature s’adaptera. Très rapidement apparaîtront des plantes résistantes. Et il faudra forcer encore la dose, créer des herbicides encore plus violents.
Jusqu’où ce jeu de massacre macabre va t’il aller?
Nous devons agir et mettre autant de pression que possible sur les autorités pour qu’elles empêchent l’arrivée du produit sur le marché européen, tant qu’il en est encore temps.
Une pétition allant dans ce sens a été lancée. Je vous encourage à la signer et à la partager autour de vous !
Combativement vôtre,
Augustin de Livois
Dicamba : l’herbicide de l’apocalypse
Madame, Monsieur,
Pour remplacer le Roundup, l’entreprise Monsanto pousse un herbicide qui est 75 à 400 fois plus dangereux pour les plantes environnantes !!
Appelé Dicamba, il a été conçu pour tuer toutes les plantes sauf les OGM.
S’il se répand, ce sera l’apocalypse écologique et cette fois plus « seulement » pour les abeilles.
Mobilisez-vous de toute urgence !! Signez et faites signer autour de vous la pétition ici pour stopper le Dicamba.
Un scénario cauchemardesque
Ce qui se déroule sous nos yeux est un cauchemar éveillé.
Nous étions sur le point d’obtenir de l’Union européenne l’interdiction du Roundup (glyphosate).
Depuis 50 ans, des associations de citoyens ont tout sacrifié pour dénoncer ce poison : substance mutagène, toxique pour la reproduction et pour l’environnement, à l’origine de lésions oculaires graves, classé « cancérogène » par l’Organisation mondiale de la santé – et pourtant répandu par milliers de tonnes chaque année dans nos champs, nos rivières, sur notre nourriture !!
Cette folie technicienne est une des pages les plus sombres de notre histoire. Nous pensions qu’elle était sur le point de se tourner. Mais aujourd’hui, c’est la douche froide : on nous propose une solution 400 fois plus dangereuse.
Signez notre grande pétition pour stopper le Dicamba.
« Je n’ai jamais rien vu de plus dangereux pour la nature !!!! »
(Larry Steckel, chercheur à l’université de Tennessee)
Larry Steckel est chercheur à l’université de Tennessee spécialisé dans les herbicides. Il assure n’avoir jamais rien vu de plus dangereux pour la nature [1].
D’horribles malformations pour les fœtus
Car le Dicamba est un terrible poison.
Il est tératogène (il génère des malformations sur les fœtus), altère le processus de reproduction, provoque une perte d’appétit, des vomissements, des douleurs musculaires, des AVC, des problèmes respiratoires, de l’incontinence, des troubles visuels…
URGENT : SIGNEZ LA PÉTITION EN CLIQUANT ICI POUR INTERDIRE LE DICAMBA AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD
La mort pour les plantes environnantes
Deux millions d’hectares de cultures non OGM ont été détruits cette année simplement parce qu’elles se trouvaient à proximité de champs aspergés de Dicamba.
Le Dicamba a en effet la particularité folle de se « re-vaporiser » après épandage. Un simple coup de vent et il retombe sur les plantations environnantes et, bien sûr, sur les forêts, les espèces sauvages.
C’est l’herbicide de l’apocalypse. Une ferme bio a été obligée de détruire ses propres récoltes après avoir été contaminée par du Dicamba utilisé à des kilomètres !!
Voici la récolte qu’a l’agriculteur voisin d’une culture au Dicamba [2] :
C’est un effet secondaire volontaire.
Monsanto veut un effet domino et imposer à tous les agriculteurs d’utiliser OGM + Dicamba !
Silence des grands médias
Aujourd’hui bien sûr personne ne s’en inquiète dans le grand public.
Comment en serait-il autrement ? Les médias en ont à peine parlé et le lobby de l’industrie chimique est dans le déni absolu.
Mais c’est sans compter la puissance d’Internet et des réseaux sociaux.
En transférant simplement cet appel à votre entourage, en republiant cette page sur Facebook ou Twitter, vous pouvez déclencher une traînée de poudre qui peut se répandre dans toute la France en quelques heures ou quelques jours, sans que rien ne puisse stopper l’information.
Nous pouvons provoquer un soulèvement de la population. Nous l’avons déjà fait sur de nombreux sujets. C’est grâce à votre mobilisation que la question des vaccins à l’aluminium a été mise au centre de l’actualité ; la catastrophe des herbicides tueurs d’abeilles ; les manœuvres de l’Union européenne contre les plantes médicinales et les compléments alimentaires.
Mais aujourd’hui, il est encore plus important que jamais auparavant de vous mobiliser pour stopper l’herbicide Dicamba.
Il en va de votre santé, de nos cancers, de la possibilité même pour nos enfants et petits-enfants de survivre dans un monde empoisonné.
Signez et faites circuler notre grande pétition !!!
Ensemble, nous pouvons mobiliser la France entière pour stopper immédiatement le Dicamba, avant qu’il ne vienne empoisonner nos sols, nos cours d’eau, détruire la vie sauvage et compromettre la vie de nos descendants.
Pourquoi c’est le moment d’agir
Aux États-Unis une pétition a déjà rassemblé plus d’un million de personnes, ce qui a provoqué un immense débat et une levée de boucliers suite à un article alarmant paru dans le grand quotidien national Washington Post.
En France, nous pouvons faire aussi bien ou mieux. Si nous rassemblons 500 000 signatures, le gouvernement sera obligé de s’en occuper.
500 000 signatures c’est à peine un Français sur 130 ! En signant la pétition et en la partageant autour de vous, ce chiffre sera vite atteint.
Mais encore faut-il que chacun de nous se mobilise. C’est pourquoi j’insiste pour vous demander de signer rapidement la pétition et de la faire circuler.
Nous ne pouvons pas laisser l’avenir de la planète entre les mains de Monsanto.
SIGNEZ LA PÉTITION POUR INTERDIRE LE DICAMBA
Dicamba, seuls les OGM lui résistent
Certains se demandent encore pourquoi, comment, la firme Monsanto peut se permettre de distribuer des produits aussi dangereux pour la collectivité.
Mais il faut comprendre que les enjeux de pouvoirs et d’argent sont considérables.
En effet, Monsanto fait des profits en vendant l’herbicide à des dizaines de milliers d’agriculteurs à travers le monde, ce qui constitue déjà en soi un énorme « business ».
Mais Monsanto fait « coup double » en vendant aussi à ces agriculteurs des semences OGM qui résistent au Dicamba.
Vous comprenez le système : cet herbicide est tellement dangereux qu’il a fallu développer en laboratoires des espèces de plantes mutantes, génétiquement modifiées, pour lui résister.
On en arrive à ce système aberrant, monstrueux, où les agriculteurs sont littéralement enchaînés dans une dépendance mortelle envers Monsanto : car chaque année, ils doivent acheter l’herbicide ET les seules semences qui résistent à cet herbicide.
Ce système diabolique est bien sûr verrouillé par des brevets qui empêchent toute concurrence, toute discussion.
Si nous les laissons faire, ils finiront par mettre la main sur l’ensemble du système agricole mondial : il n’y aura plus que les OGM de Monsanto, et que les herbicides de Monsanto, car toutes les cultures naturelles, traditionnelles seront devenues impossibles.
Seule la mobilisation massive des citoyens peut permettre d’arrêter ce scandale.
Signez et faites signer cette pétition le plus largement possible !!
Comme d’habitude, Monsanto nous prend pour des imbéciles
Depuis des années Monsanto certifiait à la télévision que l’on pouvait boire un grand verre de Roundup sans aucun problème [3].
Le Roundup a été reconnu cancérigène, pourtant Monsanto ne l’a jamais retiré du marché.
Pire encore, ils ont le culot d’écrire sur leur site Internet : « Roundup, un produit sans risque particulier [4]. »
Pour le Dicamba, leur stratégie est exactement la même. Ils affirment que ce produit est sans danger, et qu’il suffit de l’utiliser quand il n’y a pas trop de vent !!!
Ils nous prennent pour des imbéciles !
Interdisons ce nouvel herbicide avant qu’il ne soit trop tard !
Aidez-moi à lancer le débat en France en signant la pétition et en la partageant à tout votre entourage.
Pour notre santé et celle de nos enfants, nous devons interdire le Dicamba et les produits qui ont été touchés.
URGENT : SIGNEZ LA PÉTITION POUR INTERDIRE LE DICAMBA AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD
L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle est une association sans but lucratif qui ne reçoit aucune subvention publique. Afin de diffuser cette lettre gratuitement et d’organiser des conférences à un prix accessible à tous, l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle a établi un partenariat avec l’éditeur de santé naturelle indépendant SNI Editions. Nous remercions nos sympathisants et soutiens associatifs de prêter attention aux annonces de notre partenaire, grâce auxquelles nous avons les moyens d’accomplir notre mission pour la santé de toutes et tous.
Institut pour la Protection de la Santé Naturelle Association loi 1901 sans but lucratif
21 rue de Clichy
75009 PARIS www.ipsn.eu
De toutes parts, on entend des jardiniers ou des maraîchers professionnels dire qu’ils pratiquent un jardinage naturel. Mais cette expression « jardiner au naturel » ne veut malheureusement rien dire.
Nous allons donc nous contenter, faute de mieux, de définir un jardinage au naturel de la façon suivante :
Un mode de jardinage sans aucun engrais de synthèse / minéral, ni traitement chimique (pesticides – fongicides…) de synthèse.
Cette définition ne peut évidemment que s’appliquer au jardinier particulier, pas au professionnel.
Des variétés adaptées au jardinage au naturel
A La Ferme BioLing, nous avons choisi un mode de production biologique et biodynamique respectueux des hommes, de la Terre et des générations futures. Toutes nos variétés sont parfaitement bien adaptées au « jardinage au naturel », sur un sol vivant.
Un jardinage au naturel, c’est un mode de jardinage qui ne triche pas, et qui nécessite donc un sol vivant, et de bonnes connaissances en jardinage, ou un peu d’expérience.
Accepter les échecs est également important, pour ne pas courir au premier signe de maladie ou d’attaque parasitaire chez le vendeur de produits phytosanitaires chimiques – qui sera cependant ravi de vous accueillir !
La biodiversité cultivée
Notre préoccupation : la biodiversité. Mais pas seulement la biodiversité sauvage, celle des plantes sauvages. Notre vigilance porte également sur la biodiversité cultivée, vivante.
C’est la raison pour laquelle nous nous adressons à une clientèle de jardiniers aux mêmes préoccupations et nous vous proposons des plants de variétés anciennes, sans hybride F1. Elles sont donc reproductibles par tous. A l’heure où tout se marchande, c’est un luxe ! Que nous nous devons de pouvoir continuer à nous offrir…
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