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SOS ! Nos serres sont par terre !

SOS Nos serres sont par terre construire une serre la ferme bioling

Construire une serre : Le lancement de la campagne de don participatif est imminent !

 En effet, en 2018, nous avons connu 3 épisodes de « catastrophes » matérielles :

  1. Janvier 2018 – 2 serres se sont envolées à la tempête du 1er janvier (et merci à tous ceux qui nous ont aidé au rebâchage : 40 mètres de long ! ). J’ai pu en financer une entièrement, je reporte l’autre à 2019.
  1. Février 2018 – Mon camion m’a lâché et le nouveau contrôle technique m’a forcé à en financer un nouveau.
  2. Février 2018 – Ma troisième serre s’est effondrée sous la neige, les arceaux ont complètement plié (voir photos)

Et là, je ne peux définitivement plus financer ce coup dur, alors même que j’ai un besoin crucial de cette troisième serre pour la poursuite de mon activité. J’y stockais mon matériel de travail quotidien et j’y cultivais entre autres mes fruits rouges.

 

Pour la troisième serre, nos finances ne pourront plus rien faire pour nous !

Nous lançons une campagne de don participatif sur Bluebees.fr.

En échange de vos contributions, nous proposerons des contreparties pour tout le monde.

L’effet d’entrainement que vous créerez sera un élément décisif pour le succès de la campagne dont dépend la poursuite de notre activité.

Parlez-en autour de vous et laissez-nous votre adresse email pour nous soutenir et RE construire  une serre avec nous  !

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Hors-sujet : Relais d’information sur le label « Zéro résidu »

engrais pépinière de variétés anciennes bio Demeter Bioling

Nous relayons ici un courrier reçu de notre organisme certificateur, le Mouvement pour l’Agriculture Biodynamique:

P E S T I C I D E S : C E S L A B E L S  T R O M P E U R S
Les pesticides ont été un sujet important lors du Salon de l’Agriculture, qui vient de fermer ses portes. Alors que l’ensemble des acteurs s’accorde désormais sur l’urgence de la réduction de l’usage des pesticides, l’idée fait également son chemin dans la tête des consommateurs et des distributeurs. Dans ce contexte, les labels fleurissent… et tous ne se valent pas.
C’est pourquoi nous , associations engagées pour une alimentation durable, alertons l’ensemble des citoyens sur une nouvelle démarche : l’affichage de produits « zéro résidu » de pesticides. En plus d’être inexact, cet affichage ne répond absolument pas aux enjeux globaux liés à la réduction de l’utilisation de ces molécules. Et biaise donc les choix des consommateurs désireux de faire attention à ce qu’ils achètent.

 

Protégeons notre santé et notre environnement

Cet affichage est inexact, car pour trouver une molécule, il faut la chercher. Il est donc impossible de garantir qu’un a liment ne contient aucun résidu ; il est seulement possible de préciser qu’aucun des pesticides cherchés n’a été trouvé. Et le glissement de l’un à l’autre est beaucoup trop fréquent. Il faut donc être vigilant : quand on lit « zéro résidu », il faut en dé duire « zéro résidu parmi les X qui ont été recherchés… ». De plus, les résultats d’analyse peuvent varier jusqu’à 50 % en fonction du laboratoire et des méthodes utilisées.
Si les pesticides sont dangereux dans notre assiette, ils le sont aussi dans notre environnement. Ce n’est pas parce que des produits alimentaires ne présentent plus de trace de pesticides quand ils arrivent sur les étals qu’ils n’en n’ont pas été aspergés quand ils étaient aux champs. Ils se retrouvent ainsi dans l’air, dans l’eau et mettent en danger la santé des agriculteurs, la santé des riverains et tout simplement, l’ensemble des écosystèmes. Aujourd’hui, en France, 92% des cours d’eau testés contiennent des traces de pesticides et plus de 25 % des pollinisateurs ont disparu ces trente dernières années. Sans oublier l’effet cocktail des pesticides : le mélange de ces substances chimiques peut représenter une toxicité imprévisible, plus élevée que pour chaque pesticide pris indépendamment. Cette nouvelle démarche ne répond donc pas à l’ensemble des enjeux de santé et d’environnement soulevés par les pesticides.

Mobilisons-nous pour une sortie des pesticides

L’histoire de l’agronomie du 20 e siècle est marquée par une simplification progressive des questions posées : il est capital que la question des pesticides ne soit pas réduite au même sort ! La seule solution pour nous garder loin des pesticides est donc de limiter globalement l’usage de ces molécules. Pour cela, il est nécessaire  d’engager un changement de modèles agroalimentaires qui impulsera la transition écologique de l’agriculture. Chaque consommateur peut agir en promouvant une agriculture véritablement durable : l’agriculture bio, qui n’utilise aucun pesticide de synthèse ou encore, l’agroécologie, qui réduit l’usage des pesticides et est maintenant reconnu par une certification environnementale officielle, la « Haute Valeur Environnementale ». Après 10 ans d’échec des politiques publiques de réduction des pesticides, nos associations demandent à ce que le gouvernement et la grande distribution prennent leurs responsabilités : en accompagnant les agriculteurs vers une réduction de leur usage des pesticides, mais aussi en s’engageant, envers les consommateurs, à ce que l’information (origine des produits, pesticides utilisés, etc.) soit transparente. Cela nécessitera une volonté politique, des moyens et des résultats qui soient enfin à la hauteur de l’urgence sanitaire et environnementale dans laquelle nous nous trouvons.
Signataires :
Attac France, Bio Consom’acteurs, Commerce Equitable France, Eau et Rivières de Bretagne, FNH,France Nature Environnement, Générations Futures, Greenpeace, Justice Pesticides, LPO, MABD, MIRAMAP, OGM Dangers, WECF, WWF
Original : http://www.bio-dynamie.org/wp-content/uploads/2018/03/20180311_Tribune_Zero-residus-pesticides_logos-1.pdf
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Hors-sujet : Relais d’information

Chère amie, cher ami,

Cela fait des décennies que les Gouvernements et les autorités de santé discutent de l’éventuelle interdiction du Roundup.

Cet herbicide, interdit au Sri Lanka, est considéré comme dangereux par de nombreux médecins et agriculteurs dans le monde.

On lui reproche notamment, sa capacité de chélateur de métaux. C’est à dire qu’il draine des métaux lourds. Lorsque vous prenez de l’eau imbibée de Roundup, elle charrie avec elle de nombreux toxiques (outre le produit lui même) qui attaquent vos organes.

D’où l’épidémie de maladies qui s’est abattue sur les pays utilisant ce produit massivement.

En Argentine, le Roundup a été utilisé dans le cadre de la culture intensive de soja.

Le bilan de la culture du soja associée au Roundup en Argentine c’est :

>> 21 millions d’hectares de culture de soja dans le pays, soit 60% des terres cultivées;

>> 240 millions de litres de Roundup consommés (1 million avant 1997). C’est cinq litres par an et par habitant;

>> 30% des entrées des devises nationales;

>> 22 fausses couches pour 100 grossesses. C’était 6 pour cent en 1997, soit une augmentation de plus de 300% (étude menée dans les campements sanitaires auprès de 96 874 personnes);

>> 18 pour mille malformations congénitales contre 9 pour mille en 1997;

>> Une explosion des cancers;

>> Une explosion des hyperthyroïdies : 47/10 000 soit 10 fois plus que dans la population espagnole.

Par ailleurs, le Centre International de Recherche contre le Cancer, une institution extrêmement prudente, a rangé ce produit au rang des cancérogènes probables.

Vous pouvez être certains, que d’ici quelques années, tous les doutes auront été levés. C’est sans doute parce que les représentants de la firme Monsanto, qui produit le Roundup le sait très bien, qu’elle se montre si agressive pour défendre son produit.

Mais aujourd’hui la stratégie du géant des OGMs a changé.

Sachant que le Roundup vit peut être ses dernières années d’utilisation, l’entreprise prévoit de mettre sur le marché un nouveau produit : le Dicamba.

Ce pesticide est 75 à 400 fois plus puissant que le Roundup.

Il tue tout sauf les cultures qui ont été génétiquement modifiées pour lui résister. Enfin, cela dans un premier temps.

Car, comme toujours, la nature s’adaptera. Très rapidement apparaîtront des plantes résistantes. Et il faudra forcer encore la dose, créer des herbicides encore plus violents.

Jusqu’où ce jeu de massacre macabre va t’il aller?

Nous devons agir et mettre autant de pression que possible sur les autorités pour qu’elles empêchent l’arrivée du produit sur le marché européen, tant qu’il en est encore temps.

Une pétition allant dans ce sens a été lancée. Je vous encourage à la signer et à la partager autour de vous !

Combativement vôtre,

Augustin de Livois


Dicamba : l’herbicide de l’apocalypse

Madame, Monsieur,

Pour remplacer le Roundup, l’entreprise Monsanto pousse un herbicide qui est 75 à 400 fois plus dangereux pour les plantes environnantes !!

Appelé Dicamba, il a été conçu pour tuer toutes les plantes sauf les OGM.

S’il se répand, ce sera l’apocalypse écologique et cette fois plus « seulement » pour les abeilles.

Mobilisez-vous de toute urgence !! Signez et faites signer autour de vous la pétition ici pour stopper le Dicamba.

Signez la petition

Un scénario cauchemardesque

Ce qui se déroule sous nos yeux est un cauchemar éveillé.

Nous étions sur le point d’obtenir de l’Union européenne l’interdiction du Roundup (glyphosate).

Depuis 50 ans, des associations de citoyens ont tout sacrifié pour dénoncer ce poison : substance mutagène, toxique pour la reproduction et pour l’environnement, à l’origine de lésions oculaires graves, classé « cancérogène » par l’Organisation mondiale de la santé – et pourtant répandu par milliers de tonnes chaque année dans nos champs, nos rivières, sur notre nourriture !!

Cette folie technicienne est une des pages les plus sombres de notre histoire. Nous pensions qu’elle était sur le point de se tourner. Mais aujourd’hui, c’est la douche froide : on nous propose une solution 400 fois plus dangereuse.

Signez notre grande pétition pour stopper le Dicamba.

« Je n’ai jamais rien vu de plus dangereux pour la nature !!!! »

(Larry Steckel, chercheur à l’université de Tennessee)

Larry Steckel est chercheur à l’université de Tennessee spécialisé dans les herbicides. Il assure n’avoir jamais rien vu de plus dangereux pour la nature [1].

D’horribles malformations pour les fœtus

Car le Dicamba est un terrible poison.

Il est tératogène (il génère des malformations sur les fœtus), altère le processus de reproduction, provoque une perte d’appétit, des vomissements, des douleurs musculaires, des AVC, des problèmes respiratoires, de l’incontinence, des troubles visuels…

URGENT : SIGNEZ LA PÉTITION EN CLIQUANT ICI POUR INTERDIRE LE DICAMBA AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD

Signez la petition

La mort pour les plantes environnantes

Deux millions d’hectares de cultures non OGM ont été détruits cette année simplement parce qu’elles se trouvaient à proximité de champs aspergés de Dicamba.

Le Dicamba a en effet la particularité folle de se « re-vaporiser » après épandage. Un simple coup de vent et il retombe sur les plantations environnantes et, bien sûr, sur les forêts, les espèces sauvages.

C’est l’herbicide de l’apocalypse. Une ferme bio a été obligée de détruire ses propres récoltes après avoir été contaminée par du Dicamba utilisé à des kilomètres !!

Voici la récolte qu’a l’agriculteur voisin d’une culture au Dicamba [2] :

C’est un effet secondaire volontaire.

Monsanto veut un effet domino et imposer à tous les agriculteurs d’utiliser OGM + Dicamba !

Silence des grands médias

Aujourd’hui bien sûr personne ne s’en inquiète dans le grand public.

Comment en serait-il autrement ? Les médias en ont à peine parlé et le lobby de l’industrie chimique est dans le déni absolu.

Mais c’est sans compter la puissance d’Internet et des réseaux sociaux.

En transférant simplement cet appel à votre entourage, en republiant cette page sur Facebook ou Twitter, vous pouvez déclencher une traînée de poudre qui peut se répandre dans toute la France en quelques heures ou quelques jours, sans que rien ne puisse stopper l’information.

Nous pouvons provoquer un soulèvement de la population. Nous l’avons déjà fait sur de nombreux sujets. C’est grâce à votre mobilisation que la question des vaccins à l’aluminium a été mise au centre de l’actualité ; la catastrophe des herbicides tueurs d’abeilles ; les manœuvres de l’Union européenne contre les plantes médicinales et les compléments alimentaires.

Mais aujourd’hui, il est encore plus important que jamais auparavant de vous mobiliser pour stopper l’herbicide Dicamba.

Il en va de votre santé, de nos cancers, de la possibilité même pour nos enfants et petits-enfants de survivre dans un monde empoisonné.

Signez et faites circuler notre grande pétition !!!

Ensemble, nous pouvons mobiliser la France entière pour stopper immédiatement le Dicamba, avant qu’il ne vienne empoisonner nos sols, nos cours d’eau, détruire la vie sauvage et compromettre la vie de nos descendants.

Pourquoi c’est le moment d’agir

Aux États-Unis une pétition a déjà rassemblé plus d’un million de personnes, ce qui a provoqué un immense débat et une levée de boucliers suite à un article alarmant paru dans le grand quotidien national Washington Post.

En France, nous pouvons faire aussi bien ou mieux. Si nous rassemblons 500 000 signatures, le gouvernement sera obligé de s’en occuper.

500 000 signatures c’est à peine un Français sur 130 ! En signant la pétition et en la partageant autour de vous, ce chiffre sera vite atteint.

Mais encore faut-il que chacun de nous se mobilise. C’est pourquoi j’insiste pour vous demander de signer rapidement la pétition et de la faire circuler.

Nous ne pouvons pas laisser l’avenir de la planète entre les mains de Monsanto.

SIGNEZ LA PÉTITION POUR INTERDIRE LE DICAMBA

Signez la petition

Dicamba, seuls les OGM lui résistent

Certains se demandent encore pourquoi, comment, la firme Monsanto peut se permettre de distribuer des produits aussi dangereux pour la collectivité.

Mais il faut comprendre que les enjeux de pouvoirs et d’argent sont considérables.

En effet, Monsanto fait des profits en vendant l’herbicide à des dizaines de milliers d’agriculteurs à travers le monde, ce qui constitue déjà en soi un énorme « business ».

Mais Monsanto fait « coup double » en vendant aussi à ces agriculteurs des semences OGM qui résistent au Dicamba.

Vous comprenez le système : cet herbicide est tellement dangereux qu’il a fallu développer en laboratoires des espèces de plantes mutantes, génétiquement modifiées, pour lui résister.

On en arrive à ce système aberrant, monstrueux, où les agriculteurs sont littéralement enchaînés dans une dépendance mortelle envers Monsanto : car chaque année, ils doivent acheter l’herbicide ET les seules semences qui résistent à cet herbicide.

Ce système diabolique est bien sûr verrouillé par des brevets qui empêchent toute concurrence, toute discussion.

Si nous les laissons faire, ils finiront par mettre la main sur l’ensemble du système agricole mondial : il n’y aura plus que les OGM de Monsanto, et que les herbicides de Monsanto, car toutes les cultures naturelles, traditionnelles seront devenues impossibles.

Seule la mobilisation massive des citoyens peut permettre d’arrêter ce scandale.

Signez et faites signer cette pétition le plus largement possible !!

Comme d’habitude, Monsanto nous prend pour des imbéciles

Depuis des années Monsanto certifiait à la télévision que l’on pouvait boire un grand verre de Roundup sans aucun problème [3].

Le Roundup a été reconnu cancérigène, pourtant Monsanto ne l’a jamais retiré du marché.

Pire encore, ils ont le culot d’écrire sur leur site Internet : « Roundup, un produit sans risque particulier [4]. »

Pour le Dicamba, leur stratégie est exactement la même. Ils affirment que ce produit est sans danger, et qu’il suffit de l’utiliser quand il n’y a pas trop de vent !!!

Ils nous prennent pour des imbéciles !

Interdisons ce nouvel herbicide avant qu’il ne soit trop tard !

Aidez-moi à lancer le débat en France en signant la pétition et en la partageant à tout votre entourage.

Pour notre santé et celle de nos enfants, nous devons interdire le Dicamba et les produits qui ont été touchés.

URGENT : SIGNEZ LA PÉTITION POUR INTERDIRE LE DICAMBA AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD

Signez la petition

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Sources de cette lettre : 
[1] Site ag.tennessee.edu
[2] DICAMBA, REMPLACEMENT DE GLYPHOSATE !
[3] Roundup – Dr Moore « Vous pouvez tous boire un grand verre… mais pas moi ! »
[4] Roundup, un désherbant unique



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