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Auxiliaire ou nuisible ? (2)

Suite de l’article Auxiliaire ou nuisible ? (1)

2/ Remettre de la biodiversité

Laissez des zones sauvages dans votre jardin, et notamment en bordure, pour délimiter une parcelle par exemple. Outre leur intérêt pour régénérer nos sols, ces zones sauvages sont un réservoir pour la biodiversité.

Et c’est ainsi que les populations de nuisibles ou auxiliaires s’équilibreront naturellement, ou du moins, ont une chance de tendre vers un équilibre.

Notre jardinier tenace vous rétorquera peut-être qu’il n’a pas la place. Dans ce cas, 2 astuces : parlez-en à son épouse. Cela devrait être suffisant. Sinon, démontrez-lui qu’en bordure de parcelle, cela permet de bien délimiter son terrain, cela fait moins de travail d’entretien, et que de toute façon, le jeu en vaut la chandelle !

On peut même être encore plus audacieux et embellir les choses, sans que la zone sauvage ne ressemble à une zone abandonnée, mais une zone où l’homme et la nature, dans un souci de co-création, ont fait un choix : celui de réserver un sanctuaire pour cette biodiversité. Alors, on peut imaginer une mare artificielle,  recouverte de nénuphars, entourées de murets de pierres, qui servira d’abris aux grenouilles, prédatrices de moustiques.

Au fait :

si votre voisin s’y met et si le virus de la zone sauvage se propage, avez-vous idée des conséquences ? Si on laisse libre cours à son imagination, cela peu tout simplement être grandiose ! On ose : ce serait la fin des pesticides ?

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